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Naoe Issei ♣ time doesn't heal wounds [Terminé]

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AuteurMessage

Naoe Issei
Naoe Issei


♠ histoires : 17
♠ ici depuis le : 31/05/2011
♠ pseudo : Jaemiah;
♠ avatar : Lee Taemin
♠ DC : Nian :)

CITIZEN INFO
♠ études / emploi: Etudiant en Archéologie; 4ème année
♠ pouvoir: Manipulation du continuum espace temps.
♠ Book:


Naoe Issei ♣ time doesn't heal wounds [Terminé] Vide
MessageSujet: Naoe Issei ♣ time doesn't heal wounds [Terminé] Naoe Issei ♣ time doesn't heal wounds [Terminé] Icon_minitimeMer 1 Juin - 20:50


LEE TAEMIN is Naoe Issei



» âge - 21 années;
» année d'entrée à AG - Arrivé en cour d'année 2004 alors qu'il avait quatorze ans;
» raisons de son entrée - Ses deux parents sont morts, assassinés sauvagement par un criminel;
» statut - Est étudiant en Archéologie depuis près de quatre ans;
» pouvoir - Il a la capacité de manier le continuum espace temps. Il peut donc aller dans le futur, comme dans le passé, mais il peut aussi stopper le temps;
» statut social - Il se débrouille plutôt bien;
» groupe - Jiyuu;
SIGNE PARTICULIER

Naoe a la phobie des insectes et ce, peu importe leur taille! Il supporte très mal le soleil qui rayonne en journée c'est pourquoi il préfère clairement le noir et ainsi donc, la nuit. Il est tout sauf claustrophobe! Avec lui, aucune porte ne doit être laissée ouverte. Il n'aime pas les pièces trop grande et surtout en longueur. Il est Kleptomane, maniaque et très tôt dans son enfance, des médecins lui ont diagnostiqué une synesthésie.
PERSONNALITE

« Très franchement, des cas comme ça je n'en ai vu que très peu dans toute ma carrière. Il a su surmonter la douleur, la haine, la colère.... tant et trop de chose en fait. Il n'était qu'un enfant, et pourtant, il a su faire face aux évènements tragiques qui lui sont tombés au nez comme un adulte. D'ailleurs, je n'ai jamais douté de sa maturité. Ce gosse m'a toujours surpris. Et je l'admire vraiment pour tout le courage dont il a fait preuve pendant tant d'années. En y repensant... je pense que personne n'aurait réagit comme lui et surtout quand on sait, quand on est conscient de ce qu'il s'est passé. On se dit; "Mais comment peut on faire subir un tel supplice à un gosse ? Personne ne mérite de vivre ça et encore moins à une créature aussi innocente qu'un enfant."» ▬ Témoignage du Médecin traitant d'Issei.

« Pffff! Je connais la chanson par cœur! Pendant les années où il fréquentait le pensionnat on ne parlait que de ce "pauvre petit" à la misérable existence et à l'horrible enfance.Ouais, c'est ce que tout le monde disait. De mon point de vue, c'était un gosse comme les autres. En tout cas, vu le nombre de connaissance qu'il avait réussi à rallié à sa cause, en devant beaucoup plus proches d'eux au point de les considérés comme des "potes" et bien, il était bien assez sociable pour s'entourer de pleins de monde. Il était aussi assez rêveur. Il planait très souvent, tard la nuit. On pouvait voir à ces moments là, le plus clair du temps, sur ses joues, des larmes luisantes qui réfléchissait la puissante lumière de la grande lune qui illuminée par la même occasion son étroite chambre. Je me demandais toujours pourquoi. Pourquoi pleurait-il. Sanglotait-il de joie ou de tristesse ? Je ne lui ai jamais demandé. Et je ne pourrai certainement jamais lui poser... » ▬ Témoignage d'un de ses anciens camarades.

« Naoe Issei ? Ah! Que de bon souvenir! J'étais très proche de lui... C'est même un peu léger comme terme. En fait c'était mon meilleur ami. Seulement, maintenant il est partit. - out - . J'adorais sa bonne humeur et son humour décalé. Il sortait des blagues qui pour la plupart, n'était pas du tout drôle; mais rien qu'entendre la façon dont il la racontait c'était hilarant. Ses mimiques rajoutaient également une pincée de rire au reste, qui était déjà assez comique. Que c'est nostalgique!... J'aime aussi me remémorer ses yeux remplit d'ambitions, de gaieté mais aussi de tristesse; car au fond, on voyaient tout de suite que c'était quelqu'un de malheureux. Mais il essayait malgré tout, de garder ce côté obscur pour lui et de ne pas dévoiler ce "double" aux autres. Il était vraiment quelqu'un d'attentionné, parce que penser à autre chose qu'à soit après avoir passé une enfance aussi moche à ce qu'on dit, c'est vraiment être souciant de ses compagnons... Je n'en aurais pas fait autant à sa place. Je me rappelle aussi à quel point il était protecteur... Ça m'en clouait une à chaque fois. C'était impressionnant de voir à quel point il tenait à ce qu'il chérissait. C'est une chose que j'aime tellement chez lui. C'est comme sa capacité à s'exprimer; employant les bons mots, un ton bien adapté suivant le sujet de discutions, et puis son regard... Mamma mia! - Non je ne suis pas sous son charme - Il était la fenêtre sur son âme. Il était si sincère, si vrai... C'était pétrifiant....» ▬ Témoignage de sa meilleure amie.

Préjugés, instinct... Tant de choses à mon égard sont basées sur une simple croyance. Comme on dit, "On ne vend pas la peau de l'ours avant de l'avoir tué". Au final, qu'est-ce qu'ils savent réellement de moi ? Oui je suis quelqu'un de rêveur. Quelqu'un qui rêve juste d'un monde meilleur, un monde qui serai tellement meilleur que j'en oublierai mon lourd passé, que j'en ferai une croix dessus et que je vivrai heureux, épanoui comme tout être humain devrait être censé vivre. Pourtant, je semble vivre dans le mauvais siècle... Le monde est fou... On a beau rêver, prier, espérer, mais rien n’aboutis. Que voulez-vous... Je ne vais pas rester assis, attendre que le temps passe et finir ma vie sans avoir reconnu le bonheur une fois dans ma vie. Je l'ai juré. Oui un jour viendra où je retrouverai mon large sourire, mon attitude de surexcité, ma vie de gosse quoi. Aujourd'hui, qui suis-je vraiment ? Même moi je ne sais pas tout à fait. Je sais que je suis nostalgique. Les bons moments passés dans ma jeunesse, entourés de mes deux parents réunis, de nous tous, ensemble; de mes délires avec mes amis au collège publique de Tokyo; mais aussi de mon mode de vie, tant de chose me manques. Même si mon corps a accumulé et a encaissé multes souffrances, douleur, haine, colère, peine; ces points noirs qui se sont installés dans ma vie comme s'il étaient chez eux n'ont pas pour le moins disparus. Ils sont toujours bien présents, mais endormit en moi, et peut être mieux comme ça. Qui sait. Je saurai attendre, je pense être bien assez patient pour les gardés encore au chaud, enfouit, avant de les éjecter comme des chats de gouttière. Je ne manque pas d'ambitions, je sais très bien ce que je veux faire de ma vie. Je veux devenir quelqu'un de normal. "Pourquoi; tu ne l'est pas ?". Non. Sérieusement, avez-vous déjà vu un gosse être morbide, déprimé, enfermé sur lui même, n'ayant plus la même envie de vivre, et ce, dès la quatorzaine ? Ça m’étonnerai... Et bien pourtant c'est tout moi. Enfin, c'est une partie de moi. Je suis comme le loup-garou à la pleine lune, je change de personnalité. Et voilà la première. La seconde est plus amicale, plus vivante, plus "normale" on peut dire. Le côté humain de Naoe Issei quoi. Attentionné, protecteur, souriant, amical, blagueur, plutôt charmeur, hyper sociable, enfin vous voyez le genre... Mais, finalement, le résultât importe peu. Qu'il soit chiant, trop sensible, curieux, ou qu'il ai un côté sociopathe, vous devrez l'aimer comme il est et accepter ses qualités comme ses défauts. C'est tout ce qu'il y a vraiment à retenir.

BIOGRAPHIE

« Le futur appartient à ceux qui croient à la beauté de leurs rêves. »
Le futur. . .Ce futur qui se force d'oublier et de remédier aux mœurs qui habitent chaque pays de cette planète. Celui qui provoquera notre disparition, qui mettra fin à notre existence. Oui, le futur est original. Les scénarios qu'il a à disposition sont assez vastes. Certains prédissent l'avenir, mais rien n'est fixé, rien est ancré dans la roche; le futur change, il peut changer; et ce radicalement. Il faut laisser le temps se dérouler et laisser faire les choses. S'il doit y avoir une guerre, laissez là se faire. S'il devait y avoir l'arrivée d'un nouveau roi en France alors que ce pays est en pleine République et qu'il souhaite prendre le pouvoir, être à la tête du pays; et bien laissez-le faire. Ce monde mérite de souffrir, comme certains souffrent. Pas seulement, ce monde à besoin de blessure, sans, il ne pourrait pas progresser, devenir meilleur; il faut que le temps guérisse les mauvaises choses qui lui sont tombées dessus. Mais, au fond, on parle de futur, d'avenir; mais, qu'est-ce que c'est ? Juste notre vision du monde dans trente ans où bien est-ce une globalité ? Un sort qui est réservé à toute la population ? Telle est la question. Pour ma part, je rêve seulement d'un monde meilleur... Un monde où la paix rayonnera, un monde où les maladies ne seront que du passé, un monde où la couleur de peau importera bien. Ce genre de monde. Un monde parfait. En fait, je souhaite juste vivre comme il m'était donné de vivre. Ma vie s'est terminé à l'âge de quatorze ans, pas physiquement, mais mentalement. Voir ses propres parents partir... c'est une blessure qui ne guérira jamais.

Le temps n'est qu'assassin. Il nous rattrape à chaque seconde, à chaque moment, nous rapprochant encore plus du sombre destin qui nous attend, à nous tous. Personne ne sait quand, ni comment nous partirons de cette terre, de cette vie qui n'était pas si belle que ça finalement. Elle nous guette, nous surveille, et ne fait qu'attendre, patienter dans son coin, tapit dans l'ombre avec sa malveillance et sa malice, prête à enfoncer son poignard à tout moment et à stopper ainsi, d'un souffle court, l’existence d'un fils de notre mère, la terre; laissant derrière ce défunt une famille dans le chagrin, dans le désespoir, dans le deuil. Ôter une vie humaine, un être cher, un père, une mère, un enfant... non, peut importe. Tout lui convient. Oui, voilà la mort dans toute sa splendeur. Pourquoi ? Pourquoi éteindre soudainement la flamme qui faisait flamboyer le flambeau ? Quel intérêt ? Laisser des êtres humains adultes dans l'incapacité de contrôler une douleur, une peine si intense qu'elle vous ronge de l’intérieur fait tellement de bien à la conscience? Retirer un être cher à quelqu'un de mature est-ce insuffisant pour s'en prendre à la jeune génération aussi ? La jeune génération, oui, ces bambins inconscients, n'ayant aucune connaissance du monde réel mais qui par contre connaissent bien l'univers des Bisounours et des Pokemons, cette génération, celle des petits capricieux, celle des petits qui vont encore à la crèche, oui elle aussi est touchée par ce vide, cette sensation de devoir dire au revoir à un proche. Seulement la différence avec les autres c'est que l'ignorance les sauvent d'un mal bien plus présent chez la génération d'un cran supérieur. Celle des adolescents. Celle des boutonneux rebelles qui ne font pas leurs devoirs, qui répondent à leurs parents et qui passent des heures devant la télé ou l'ordinateur. Eux ressentent beaucoup plus la souffrance. Il se trouve que je faisais moi même parti de cette tranche.

« La mort. L'horreur absolue de la non-existence. La mort ne rentre dans aucun schéma. Il n'y a pas d'explication à la mort. Elle entre, elle vous arrête au milieu d'une phrase : "Non, c'est fini" et claque la porte. »
Mes deux parents sont morts. Oui. Sauvagement agressés, assassinés, pendant leur sommeil. Quand je repense à la manière dont ils ont été tués, des frissons me hantent le corps de la tête aux pieds. C'était un soir de Juillet, le dix-huit précisément, leur retour au domicile devait être aux alentours de huit heures moins dix...

« Ahhhhh! Non! [...] Sérieux, je sais pas combien de fois j’ai perdu mais alors là méga concentration! Je vais tout déchiré ». On sait que les adolescents ne sont que des démons. Ils n’obéissent plus à leurs parents, ils se couchent beaucoup plus tard que la moyenne, ils répondent, et passe le plus clair du temps à faire autre chose qu'étudier. Je faisais semi parti de ces ados là. En fait, je faisais jamais mes devoirs, je n'avais pas besoin de ça pour progresser dans les matières. C'est comme les cours, je n'y allais jamais. Enfin, sauf pour les contrôles ou les fois où j'avais envie d'y faire le con. Sinon, ils étaient inutiles! Même si je loupais tout ça, mes notes étaient plus que bonnes et bizarrement mes parents ne me reprochaient rien. Fallait croire que tant que j'avais de bonnes notes je pouvais rester peinard chez moi. En plus je me couchais hyper tard pour le lever super tôt, comme ça, longue journée en perspective! Parce qu'il faut quand même le savoir, j'étais un geek à l'époque. Je restais des heures devant mon pc qui était installé dans ma grande et vaste chambre de bourges. C'était pour faire passer le temps, puis en plus, il faut avouer que ça défoule! Surtout quand vous jouez à Call of Duty! Mon jeu favori. Plus de cent heures de jeu au compteur. Pas très étonnant... J'y jouais toute la journée du matin au soir et même en cours des fois grâce à un site qui proposait d'y jouer en ligne. C'était le pied total. Et bien, ce soir là j'y jouais encore. J'étais au niveau final, le niveau Zombie. Ça devait faire la trentième fois que je recommençais ce palier. L'horloge qui se trouvait à ma gauche, suspendue en hauteur sur une poutre en marbre qui stabilisait la maison et lui donnait un côté assez vieillot - style que j’appréciais d'ailleurs - indiquait que mes parents avaient du retard, ils devaient être déjà rentrés depuis environ une demie heure. Leur boulot devait être la cause de ce retardement. Personnellement, ça m'était égal. Je recliquais sur la touche qui affichait toujours le même message bien énervant "Try Again!" et repartis à la chasse.
« GRAAAAAAAAAAAHHHH! Pourquoi cette bombe me bute tout le temps dès le début! » J'en pouvais plus. Première fois que ce jeu me donnait du fil à retordre. A l'époque j'étais tout sauf patient. J'étais hyper nerveux, colérique et je piquais des crises qui faisaient peur. D'ailleurs, au collège on ne me surnommait pas "Godzilla" pour rien. J'avais la capacité de tout détruire sur mon chemin. "Naoe tout péter!!!" disaient-ils. Cette phrase a le don de me faire rire à chaque fois. J'avais décidé de faire une pause histoire de reposer mes nerfs qui commençaient sévèrement à s'excités. Il avait prit la décision d’appeler sa mère. Elle, tout simplement parce qu'elle était beaucoup plus joignable que son père. On pouvait voir qu'il s’inquiétait. Il ne tenait plus en place, tournait en rond même, il avait des sueurs froides remarquables au front, et il commençait à avoir une respiration lourde et plus rapide qu'à la norme. Heureusement pour lui, la tension chuta totalement lorsque sa mère répondit au téléphone. « Halo poussin ? C'est toi ? Tout va bien ? ». Il empoigna d'une main ferme son t-shirt au environ du torse, comme si une immense peur s'était envolée. Il se mit alors à étirer un grand sourire et lui répondit. S'en suit une discussion adorable entre mère et fils. Elle lui avait précisé qu'elle arriverait dans un quart d'heure. Elle venait juste de finir de débaucher et s'était de même pour son père qui travaillait exactement dans le même établissement que son épouse. Ils étaient tout deux d'excellent avocats, plutôt réputés. C'était ses modèles à lui. Il voulait être aussi attaché et dévoué à son futur emploi que son père et sa mère le sont pour le leur. Même s'il était le genre de gamin accrocs à son pc, et à tout autre objet technologique qu'il possédait, l'amour qu'il portait à ses parents était immense. Sans eux, il ne serait rien. Il serait vide, sans aucun état d'âme, et incapable de vivre normalement. Et il le savait parfaitement. Voilà par exemple le genre de situation qui le fait paniquer, le fait de ne pas voir ses proches revenir à l'heure prévue. Si c'était qu'une demie heure, comme cela avait été le cas plus tôt dans la soirée, c'était passable. On pouvait se dire qu'ils étaient bloqués dans des embouteillages, ou qu'ils auraient tout simplement été prit par le temps. Mais voilà, au-delà de cinquante minutes c'était quand même curieux.

Bip, bip, bip, bip. Le micro-ondes retentit. Le chocolat chaud que venait de préparer Issei était fin prêt à être dégusté. Au même moment, la serrure de la porte d'entrée se mit à émir quelques sons indiquant qu'on essayait de pénétrer dans la pièce centrale du domicile. Le bruit ne dura que quelque seconde avant que le regard de Naoe s’intéresse finalement au seuil d'où était parvenu les ondes sonores. Son père avait déjà jeté son manteau sur la commode qui était entreposée du côté gauche du couloir au moment où le jeunot avait finit sa rotation et qu'il le perçut. Il courut et se projeta dans ses bras. Finalement le résultât était pas tout à fait celui auquel on s'attendait. En fait ils se retrouvèrent tous les deux par terre. Madame Naoe qui venait juste de franchir l'entrée explosa de rire en voyant que son mari était écrabouillé par son fils. C'est vrai que c'était comique à voir. Elle aida son fils à se relever avant de lui dire bonjour "façon Naoe". Attention, cette famille est tout sauf normale je vous préviens. Leur façon de se saluer se résumait à... danser la polka! - meurt - Son père fit de même après s’être relevé. Il était à présent huit heures cinquante. L'heure habituelle du repas était déjà dépassée, ses parents se mirent alors à cuisiner; l'objectif : manger le plus rapidement possible et ensuite aller dormir et profiter de leur congé. Ils avaient deux jours devant eux. Je me tenais debout devant la fenêtre. Je regardais la grande lune qui brillait et scintillait dans le ciel noir parsemé d'étoiles. La pluie tombait fortement sur le sol, l'atterrissage des gouttes pouvait se comparer à une explosion. Si on faisait un zoom sur une des gouttelettes et qu'on mettait tout ça au ralentit je suis sûr qu'on auraient bien vu le fracassement de la globule. Alors que je m'imaginais l’expérience avec la goutte s'écrasant sur le terroir, mon père m’appelait pour passer à table. Le repas se déroulât dans la bonne humeur comme à chaque fois. Mon père faisant le barge, ma mère et son rire space et moi et mes imitations. Ça faisait longtemps qu'on avait pas passer un diner au clame et très franchement, j'aimais ce genre d'ambiance. Mes parents prient leurs couverts et les déposa dans le lave-vaisselle avant de me dire de ne pas me coucher trop tard. Sans doute allaient-ils faire leur nuit. J'avais hoché la tête et je me dirigeais vers l'escalier qui menait à l'étage supérieure qui dévoilerait alors une fois en haut, en face, la salle de bain, à droite la chambre de mes parents, et à gauche la mienne. Sans prendre le temps de me déshabiller, je m'étais installé dans mon lit baldaquin et j'admirais la puissante lune. Je n’eus pas le temps de me rendre compte que je sombrais dans un profond sommeil...

« A toi ma si chère amie, toi qui m'as toujours compris, toi à qui je dois la vie, toi source de toute Magie, j'aimerais te dire que je crois en l'avenir et à un meilleur devenir. J'ai si besoin de te l'écrire, j'ai enfin arrêté de souffrir, j'ai retrouvé la confiance en moi il y a la renaissance. J'ai enfin l'espérance, et n’aie plus de défaillance, mon bel enfant tu as sauvé, et je ne sais comment te remercier, de tout cet amour donné, moi qui t'avais oublié ! A toi ma si chère amie, toi qui m'a toujours suivie, j'aimerais en ce jour, te dire tout cet amour, et que grâce à toi, nous allons trouver la joie, dans ce nouvel ère, que l'on espère. Toi source de toute vie, tu nous sais en sursis, que ce monde fini son temps, qu'il nous faut maintenant, reprendre notre Magie, et qu'enfin la Prophétie, de tout temps annoncée, puisses se scinder, en un espoir, et pour notre Gloire. »

Un bruit me fit sursauter et fit sortir ce poème de mes pensées. Mon réveil grenouille posé sur ma commode côté gauche indiquait quatre heures du matin. Pourquoi y aurait il un tel vacarme à cette heure là ? Peut importait, ce bruit avait osé me sortir de mon somme. - Oui, je préfère prévenir, je suis toujours de mauvaise humeur quand je me réveille... -. Je descendis les escaliers et je me dirigeais vers le salon/salle à manger. C'était bien de là que venait le tapage. Et alors là, j'eus un choc. Une espèce de nausée s'installa peu à peu en moi. Je restais là, fixé à l'entrée de la grande et vaste pièce, je suis sûr que si j'avais eu un miroir en face de moi j'aurais pu me voir avec une tête d'alcoolique complètement bourré à la limite de se vider dessus. Mais à la place d'un miroir, j'eus droit à la vue de la fenêtre entièrement ouverte avec les rideaux qui voltigeaient en harmonie avec le vent qui soufflaient fortement. Ce fut ça mon déclic. Cette fenêtre ouverte. Elle n'avait pas à être ouverte. Étant donné que j'avais également un côté parano, je m’imaginais les pires choses. "Tout un cinéma pour un petit orifice." se diraient les autres, mais pour moi c'est comme avoir reçut une balle en plein torse. Je quittais peu à peu mon statut de pétrifier pour passer à celui de barge. Je me mis à vérifier chaque recoin de la pièce principale sans aucune peur, et pourtant si j'avais gardé mon tempérament habituel, je ne m'y saurais pas aventurer... j'aurais eu trop peur de voir quelqu'un surgir au milieu de nulle part... Puis constatant rien d'anormal, j'avais refermé la fenêtre qui se débattait violemment à l'aide des courants d'air. Je montais alors à l'étage, pensif, la bouche de côté montrant alors mon "mode inquiet/préoccupé". Au lieu de retourner dormir, je pris la décision d'aller prévenir mes parents de ce qu'il s'était passé, au risque de me faire insulté de trouillard par mon père. J'étais resté quelques secondes devant la porte, la main bloquée en hauteur, hésitante. Frapper ou non ? Bon aller, de toutes façons je risque pas grand chose hein! Je toquais alors à la porte qui s'ouvrit finalement dès le premier fracas...

Quoi ? La porte était déjà ouverte ? Possible... J'avançais ma tête de côté de façon à voir s'il y avait quelque chose de suspect. Non. C'est ce que j'en avais déduit. J'ouvris la porte. Je ne réagis pas tout à fait sur le coup. Je sentais plus la douleur dominait en moi qu’autre chose, les larmes montaient seules, mon corps tremblait, et ma gorge se contractait également. Un homme se tenait là, debout, légèrement penché au dessus de la tête de ma mère, couteau à la main et le regard braqué sur moi. Après le grand silence qui s'était imposé quelques secondes avant, il agit. Le sang giclait partout, sur les murs, sur les draps, sur mon visage et même sur celui de l'inconnu, la gorge de ma même qui venait d'être tranchée, entrée en éruption tel le volcan du Vésuve de Pompéi. Je restais là, de marbre, les yeux écarquillaient comme des billes. Mon père lui aussi avait une longue entaille, heureusement, le temps que j'arrive le sang avait déjà fini de jaïr. Mon corps commençait à se balancer de droite à gauche, d'avant en arrière, jusqu'à ce que finalement je tombe en arrière sur le dos. L'homme me fixait toujours, il avait fini son petit trip, il avait massacré ma chère et tendre famille... Une larme que je sentais déjà depuis que j'avais vu le corps de ma mère retomber lourdement dans son lit, continuait son parcours sur ma joue. J'avais jeté un dernier regard à mes deux parents avant de fermer les yeux aussi fortement que je le pus et puis comme si c'était un réflexe, je m'étais levé d'un coup et je m'étais mis à me diriger à toute vitesse vers les escaliers pour pouvoir sortir aussi vite que possible de cette maison. Je ne fus pas surpris quand j’aperçus grâce à la lune qui éclairait tout le couloir la silhouette de l'intrus me courser. J'étais pas très bon en sport mais question endurance j'étais plutôt pas mal, il fallait que je compte sur lui pour me sortir de cette situation, pourtant les tremblements m'empêchaient vraiment de lui faire recourt. Sur le coup je me trouvé vraiment nul. Si la scène avait été projetée au cinéma sur un grand écran et que j'aurais été un des spectateurs, j'aurais rigolé en disant "Court Forest, court!" ou encore "Dommage pour toi, tu vas te faire chopper", mais là, c'est différent. Ce n'était pas un jeu, un film, ou une série, c'était la réalité! Il fallait que je supporte toute les atrocités que mon corps venait d'encaissé et ce, subitement. Mais la douleur était trop forte, j'allais m'écraser comme une enclume sur le sol du couloir... Et l'autre type lui avait arrêté de courir et se dirigea lentement vers moi, je fermas les yeux et je venais les écraser sur mes avant bras qui étaient croisés juste devant ma tête. Mon heure était-elle venue ? Apparemment non puisqu'il ne me tua pas; mais en revanche, il m'enleva...

« Nous ne choisissons point. Notre destin choisit. Et la sagesse est de nous montrer dignes de son choix, quel qu'il soit. »
Qu'avais-je fait pour mériter ça ? Je n'étais pourtant pas le pire môme de la planète. - Prenez mes amis par exemple... -. Il fallait croire que c'était mon destin, de souffrir ainsi. Je me remémorais sans cesse leur mort, ça n'avait rien de bon, mais, quelque chose m'y obligeait, peut être était-ce pour accepter leur départ.. pourtant, rien que le fait d'y repenser me torturait l'esprit; comme des harcèlements. J'avais les dents serraient comme les crocs d'un chien qui grogne après le facteur tellement que la colère me rongeait. Les chaudes larmes ne se retenaient plus de couler, elles emplissaient tout mon visage. Celui-ci d'ailleurs présentait quelques ecchymoses, car il ne fallait pas croire que je n'avais pas essayé de résister à ce barbare. Certes j'avais déjà perdu d'avance à cause du choc que j'avais reçut en découvrant les deux cadavres, mais si je les avais détestés j'aurais eu aucun mal à me sortir de là, quoique..Enfin passons. En fait, depuis que j'étais sortis de leur chambre, une sorte de dégout s'était amplifié jusqu'à maintenant, me prenant tout le ventre et me faisant subir comme une sorte de compression. J'étais limite plié en deux, enfin, c'était plutôt compliqué de l'être dans la situation où j'étais. J'ai un peu honte de ce qui m'est arrivé mais bon, il faut bien dire ce qui est vrai non ? Bon revenons alors un peu en avant...

- Je suis cuit, je vais me faire buter, il va me massacrer, dans l'état auquel je suis il peut même se faire un p'tit plaisir! - Pourtant, malgré ce que je m'imaginais, il avait d'autres idées en tête, fallait croire qu'il était pas net celui-là. En fait, il s'était accroupit juste à côté de moi et avait poussé un fort soupir avant de me tirer les cheveux vers le haut pour que je le regarde et que j'arrête de blottir ma tête dans mes bras. En premier temps, la douleur, dans un second, la peur. Le mec flippant quoi. Tête de côté, du sang un peu partout sur son visage, des yeux vides et grand ouvert. J'avais même cru pendant une seconde que c'était un psychopathe sortit tout droit de mes séries TV policières. J'étais presque sûr qu'il se dirait "Bof, aller c'est qu'un gosse, c'est pas grave..." mais finalement ça c'était pas vraiment passé comme ça. Il dégagea son regard un instant du sien. Il avait tourné la tête et de son autre main, il l'avait déposé derrière lui, comme s'il cherchait quelque chose. Au moment où il se remit dans sa position initiale, il tenait "un" mètre de corde dans sa main gauche, celle qu'il avait bougé un moment avant. C'est à ce moment que finalement je perdis ma tête de battant pour laisser place à celle de "et merde" et que je me disais - bah finalement c'est bien un psychopathe...-. J'avais cligné quatre-cinq fois des yeux avant de secouer légèrement la tête et de le fixer avec un air du genre "t'as pas intérêt". Et je crois qu'il avait pigé, puisqu'il avait enfin lâché mes cheveux et qu'elle retombait alors comme au départ. C'est pas pour autant que je l'avais quitté des yeux, on ne savait pas ce qu'il aurait pu me faire, il pouvait très bien être un vieux pervers, ou simplement un mec à battre les gentils petits enfants. Enfin, bref, on s'en foutait pas mal de qui il pouvait être. Pour moi, il était juste le mec que je détestais le plus dès l'instant ou il à commit le crime odieux de tuer ma famille. C'était tout ce qui importait. Et puis là, je le vis hausser les épaules et se pencher vers moi. « J'espère que tu n'as pas peur du noir...! ». dit-il en souriant d'un air vicieux. Qu'est-ce que ça voulait dire ça ? Hein ? Il été passait de Monsieur Sourire à Monsieur Méchant. En effet, maintenant il n'y avait qu'un air froid et violent sur son visage, et à ce même moment il s'était mis à me prendre les poignets. Moi qui avait l'habitude de regarder des séries qui parler un peu de se genre de situation par le biais d'une enquête, je savais très bien ce qu'il avait l'intention de faire. Mes tremblements reprirent de plus bel, rien qu'au simple contact des mains glaciales du barjo qui se tenait à ma droite, mais aussi à cause de mes connaissances. Je n'avais pas envie d'être encore avec lui. C'était quand même l'assassin de ma famille! Je me disais également que dès l'instant il m'aurait attaché je serai son pantin, son joujou, et je serai totalement soumis à ce cinglé. Et je devais tout faire pour que ça n'arrive pas.

Et puis on en arrive là. Malgré toute la lutte que j'avais fourni, il avait réussi à me maitriser ce con. C'est vrai, j'avais quand même pas mal résisté. J'avais eu le temps de lui coller un bon coup de pompe, de lui faire manger la moquette, et de me casser en bas des escaliers, mais déjà de un, franchement ce mec, c'est Hulk! et de deux, tout ça n'a fait que l'arranger puisque finalement il n'a pas eu à me porter dans les escaliers une fois ligoté. Il avait juste à me prendre et à dire "Salut et à la prochaine". Le bâtard... J'avais pas l'air nul moi aussi... Pfffa la honte franchement... D'ailleurs je m'en frappais la tête au sol. - Quel con, mais quel con -. Il n'y a que ces paroles qui résonnaient dans mes pensées. Pendant que je me punissais d'être dans cette position rabaissante, l'autre type lui prenait son temps, il nettoyait ses outils de boucherie et était même partit faire le ménage en haut dans la chambre de mes parents. - L'enflure! -. Puis quand il était revenu, les mains et le t-shirt pleins de sang, il s'était étiré et après avoir fait quelques foulées dans la pièce il s'était dirigé vers ma direction et me prit sur son épaule droite se lançant d'un pas ferme vers la porte d'entrée. C'était là, qu'Issei avait dansé pour la dernière fois de sa vie la polka en compagnie de ses deux parents.... Et puis il s'en alla, forcé, les yeux noyaient de sanglots.

Il y a vraiment de quoi avoir honte... J'étais quelqu'un qui n'aimait pas être vu sous un angle faible, un peu comme là, je n'aimais pas aussi avoir la pitié des gens, et je me disais que c'était forcé qu'on parle d'un assassinat de deux avocats assez influant habitant la capitale et de leur fils qui a été enlevé suite à ce crime. Je voyais déjà le topo. Je vous avez dit aussi quelques lignes plus haut que j'étais limite plié en deux, enfin, que c'était plutôt compliqué de l'être dans la situation où j'étais, et bien en fait, j'étais tout simplement enfermé dans le coffre de sa voiture. Donc c'était assez difficile d'être dans cette position sans se prendre la banquette en pleine face. D'ailleurs je me l'étais déjà prise. En plein dans le pif. Ça avait fait particulièrement mal même. J'étais certain que l'autre type qui conduisait roulait sur une route de campagne. Pourquoi ? Les secousses! Misères, soit il savait pas conduire soit la route était malle foutue donc... une chance sur deux. En plus, c'est pas le nombre de virages qu'on a prit qui démentirait le fait qu'on été déjà loin de Tokyo. Enfin, c'était pas trop le moment de se focaliser là-dessus. Fallait réfléchir à la manière dont je m’échapperai. Ou du moins essayerai de m'enfuir parce que malgré ce que j'ai fait à ce mec, il a pas trop de séquelles et que je pense pas m'en sortir au même point. Justement, au moment où je pensais cette phrase, la voiture s'était arrêté nette, me projetant vers le côté intérieur de l'engin. Que c'était-il passer ? Franchement, il l'avait eu où sont permis ? dans un Kinder surprise ? En fait il semblait qu'on été arrivé à destination, puisque j’entendis la porte du coffre s'ouvrir, et que je sentis les courants d'air de la nuit par l'intermédiaire de frissons positionnés un peu partout. J'aurais pu voir si on était encore dans la capitale ou alors en forêt, mais un bandeau m’en empêchai, bloquant mon champ de visions. Je devais juste me contenter que de la couleur verte qui vivait dans mes globes oculaires. Oui, au lieu de voir du noir lorsque je ferme les yeux je vois du vert. Ça vient du fait que lorsque j'étais plus jeune, mon médecin traitant m'a appris que j'étais synesthésiste. Entre autre, je vois le monde différemment. Comme par exemple, I est bleu, ou encore le mot Samedi est rayé de violet et de blanc. Parfois même je vois la musique et j'entends la couleur. C'est vrai que c'est particulier, mais en fait j'ai cette particularité depuis que je suis petit, et je ne pensais pas que c'était "anormal', je pensais que tout le monde voyait le monde en couleur. Là, je ne voyais que le vert. Ce qui été étrange, c'était qu'il me privait de ma vue, mais pas de ma voix. Je pouvais hurler, et si on était effectivement encore dans ma ville natale, ça aurait pu attirer l'attention de quelqu'un. Mais, l'idée d'être dans la capitale était morte et enterrée puisqu'il n'y avait absolument aucun bruit autour de nous. Je l'entendais prononcer une sorte de pratique, comme s'il priait. Elle était d'une tout autre langue que celle qu'on parlait dans notre pays et il avait dû la récité environ cinq bonnes minutes avant que le silence ne reprenne place. Ses mains toujours aussi glaciales me ressaisirent et je me retrouvais dans la même position que lorsqu'on avait quitté mon domicile. Il marchait et apparemment on s’apprêtait à rentrer dans une maison ou du moins un endroit clos puisque le bruit d'une porte grinçante me vint aux oreilles. Il m'avait retiré le bandeau que j'avais sur les yeux et m'avait traîné jusque dans un coin de la pièce.

« L'homme que nous recherchons est grand, il mesure environ dans les un mètre quatre vingt, il doit avoir dans la trentaine, un homme solitaire, sans femme ni enfant, Il ne ressent aucune culpabilité sur les choix qu'il entreprend. C'est également un psychopathe, instable, décalé, il n'a aucune responsabilité, tout ce qu'il fait, ce qu'il voit, ce qu'il entend dans sa vie lui est indifférent, c'est pour ça que l'hypothèse d'une nouvelle victime en plus n'est pas à écarter. Cet homme est recherché depuis maintenant dix ans, il a commit de nombreux meurtres jusqu'en 1996 où il avait arrêté de sévir. Aujourd'hui il reprend du service en tuant deux civils dans leur domicile et en kidnappant leur fils de quatorze ans qui est porté disparu depuis déjà deux semaines. Rien ne certifie qu'il soit toujours en vie, mais tant que nous n'avons pas preuve du contraire nous continuerons les recherches. Merci de votre attention et si vous pensez avoir vu cet homme merci de nous contacter. ».
▬ Annoncé dans les environs du 1er Août.

« Merci de nous écouter à nouveau chers auditeurs! Nous allons soulager votre conscience en vous disant que "Yoru no otoko" soit l'homme de la nuit a enfin été arrêté et ce la nuit dernière! Ça soulage n'est-ce pas ? Il ne se défoulera plus à présent! De plus, le petit que ce dernier a séquestré pendant plus d'un mois est encore vivant! Incroyable! Toute l'équipe lui souhaite un très bon rétablissement car il en aura certainement besoin. Une fois de plus, la justice l'emporte! »
▬ Annoncé le 15 Août vers 18h.

Un mois. Pour moi ça me parut des années. Les journées défilées aussi lentement qu'un escargot essayant de traverser un pont. J'étais enfin de retour à la vie normale. Du moins, c'est ce que les autres disaient, que je retournais à ma vie paisible. Savent-ils au moins ce que j'ai vécu pendant ce long mois ? Il me battait de toutes ses forces, il me prenait pour son punching-ball, il faisait passer le temps en me donnant des coups de scalpel, il a même tenté de... de me violer! Heureusement que cette idée s'est vite dissipée suite au nouveau coup de pied que je lui avais fichu à la tête. Y avait une limite quand même. Je me rappelle également les horribles conditions de vie auxquelles j'avais eu droit. Tu mangeais une fois tous les deux jours, tu buvais un peu plus souvent mais c'était très peu quand même, quand est-ce que j'avais eu enfin le droit de me laver ? Au moins cinq jours après le meurtre de mes parents. Ensuite j'avais eu le droit d'y aller une fois chaque semaine. C'est tout. Heureusement qu'il se rattrapait sur les besoins naturels... Hum. Tout ça pour dire que, franchement, c'était l'horreur... Pendant un mois j'étais resté tapit dans ce fichu coin, avec les mêmes fringues, tellement que la baraque était salle tu voyais très bien où la corde qui servait à m'empêchai de bouger était positionnée. Le haut et le bas étaient complètement sales, alors que le milieu alors là, pas de problème, c'était propre hein! Au collège, - quand j'y allais - et qu'il fallait écrire j'avais souvent mal aux poignets, mais je crois que c'est pas égalable avec la douleur qui été présente jusqu'à ce qu'on me retrouve. Qu'on me retrouve... Je me rappelle comment j'étais heureux... comment j'avais mal au ventre avec toute la pression qui pesait. Quand ces personnes sont arrivées dans la pièce et qu'ils ont tirés sur mon agresseur, les sanglots qui étaient déjà bien trop présents sur mon visage se mirent à tripler au moins. C'est une gentille femme qui s'est approchée de moi, elle aussi pleurée - j'étais si horrible à voir que ça ? - la première fois, quand elle avait posée sa main sur la mienne, j'avais très mal régit, je tremblais comme si j'avais des convulsions et j'avais tourné la tête déviant tout regard. Sauf que... elle serra ma main avec douceur et dit à ce même moment « Ne t'inquiète pas, tout est fini... ». Je n'avais pas trouvé mieux comme réponse que « Je veux sortir d'ici... ». Je le dis avec une voix cassée, faible, grelottante. Elle comprit tout de suite ce que je voulais. Elle m'avait libéré des liens atrocement serrés, et découvrit par la même occasion mes mains contemplées de géantes traces de ligature. C'était si serré que mes poignets étaient bleuâtres. Elle ne devait pas être dans son assiette la pauvre dame puisqu'elle devenait blanche comme un caché d'aspirine. Elle m'avait aidé à me relever, mais sans réel succès puisque je tenais même plus sur mes jambes. J'étais obligé de monter sur son dos. Heureusement que je n'étais pas très lourd...

« - Je crois que nous n'avons pas le choix; il va falloir le faire entrer dans ce pensionnat. - Vraiment ? Il n'y a vraiment personne pour le recueillir ? Ce petit à déjà perdu ses parents! Que fait le reste de sa famille dans tout ça ? - Ils ne se portent pas garant pour s'en occuper... Aucun. J'ai déjà téléphoné à sa tante, elle a été bouleversée par la mort de sa sœur mais c'est bien la seule chose qui l'a touché... ; à sa grand mère, mais à cause de son âge elle ne pourrait pas subvenir entièrement à ses besoins ; aussi à son oncle de Corée, lui s'en fichait totalement... Moi je dis jolie famille! Autant Madame et monsieur Naoe étaient adorable mais le reste de la famille n'est malheureusement pas pareil. - Je vois... Je me sens tellement coupable de ne pas pouvoir m'en occuper... Si seulement mon boulot n'était pas si encombrant... - Ne vous inquiétez pas, là bas il sera bien, et il se fera des amis! C'est déjà ça! »
▬ Discussion entre la jeune femme décrite plus haut et le médecin traitant d'Issei

C'est ainsi que je fus envoyé dans ce pensionnat. Personne ne voulait de moi, j'étais finalement dégouté de mes proches. Comment avaient ils puent... J'étais maintenant bloqué dans un pensionnat, où je ne connaissais absolument personne. Je me fis des amis assez rapidement, en même temps j’étais quelqu'un d'assez social mais après ce qu'il m'était arrivé j'étais plus le petit gentil qui sautait dans les bras de tout le monde. Non! J'étais le chien qui avait la rage et qui mordait tout le monde. Normal ça paraissait. - Tient Yoda, qu'est-ce que tu fais ici ? - De plus, j'ignore comment ils savaient, mais certains étaient au courant de ce que j'avais vécus. Et de savoir que certains savaient ça c'était pas évident à vivre. Ils te faisaient des farces vraiment pas drôle la dessus, se moquaient à longueur de journée, et j'en passe pas mal. Peut être était-ce le gérant qui en avait fait mention.. Maybe. Ce n'était pas si important en fin de compte. On aurait beau me critiquer, m'insulter, avoir des préjugés complètement faux à mon égard, je m'en ficherai pas mal. La seule chose qui ne faudra souiller, c'est l'image de mes deux parents. Ça par contre c'est intolérable. Un jour, ce Akeno Takamasa m'invita à la rencontrer pour qu'on parle justement de ça. Notre rendez-vous était fixé à une heure et demie dans un des couloirs de l'établissement. Un couloir qui était pas très loin des dortoirs. Comme un garçon bien élevé j'y étais allé, mais quand je suis arrivé dans le corridor, en face de la cellule convenue il n'y avait personne. Je regardais à travers la fenêtre de verre si un homme attendait à l'intérieur. Visiblement non. L'instant d'après je sentis une douleur en haut de mon crâne, et j'entendis comme le brisement d'une assiette. Ma main allait alors toucher le sommet de ma tête et lorsque je l'avais ramenée dans mon champ de vision, du sang en était incrusté, ma vue se troublait et je perdis connaissance en m'affaissant sur le sol.

Je m'étais réveillé d'un coup, en sursaut. J'étais là, allongé sur un lit qui ressemblait à deux goûtes d'eau à ceux qu'on trouvait à l’hôpital. Je portais une espèce de blouse blanche à manche courte et un assez imposant pansement était appliqué sur mon bras gauche. Une migraine compressait mon cerveau. Par un réflexe naturel, j'avais fermé les yeux fortement comme si je voulais canaliser cette douleur. Et puis, quand je les réouvris surprise! Les yeux ébaillis, je me retrouvais sur le canapé du salon de mon domicile avec mes deux parents. J'avais ma tête posée sur l'épaule de ma mère. Mon cœur s'était emballé et toujours choqué de ce qu'il venait de se produire, peut être était-ce un rêve, une hallucination, mais pourtant, j'avais bien la sensation de toucher ma très chère mère. Je la serrais de toutes mes forces. Je ne doute pas qu'elle se soit posée des questions à ce moment là mais déjà des mois avaient passé depuis leur disparition. Je n'en revenais toujours pas. Le son de sa voix rayonnait dans mes oreilles, c'était un pur bonheur. « Hohohoho! Issei! Tu vas bien trésor ? ». On aurait dit un gamin... Mais au final c'était quoi ce délire ? La dernière chose dont il se rappelait avant d'avoir ouvert les yeux c'était d'être dans cette cellule et d'avoir cette migraine. J'avais alors jeté un coup d’œil furtif vers mon bras et le pansement était toujours là. C'était pas un rêve ? Une grimace s'installa sur mon visage. Je fermas très fort les yeux et les réouvris. Cette fois-ci je me trouvais sur la muraille de Chine! « Nan mais c'est quoi ça ?! ». Puis j'avais répété la même chose plusieurs fois. J'en avais vu des choses en si peu de temps! Un crocodile qui s'était mis à me prendre ne proie, découvert pour la première fois un temple égyptien avec des sarcophages et tout le tralala,, la statue de la liberté en Amérique, et j'étais même tombé au musée du Louvre devant le tableau de la Joconde! Olé! Tout va bien ce passer.. Je répétas une nouvelle fois la formule en me concentrant bien sur la pièce du pensionnat. Une fois les yeux réouvert j'étais bien dans cette pièce. Mais franchement c'était quoi ce nouveau don ? Comment l'avais-je obtenu ? Puis j'avais décidé de m'en servir pour revenir un peu avant mon réveil agité. « Ahhh! Alors c'est ça leur truc hein ? ». Je venais de comprendre tout ce qu'il s'était passé. Alors comme ça c'est grâce à eux que j'ai acquis cette capacité tellement extraordinaire ? Et bien merci beaucoup! Grâce à vous je vais pouvoir revoir mes parents!

C'était bien sûr trop beau pour être vrai... Faut que j'arrête de me plaindre quand même. En fait mon pouvoir m'offre la possibilité une fois sur deux d'être dans ma propre peau. - Gné ? -. Ouais, y a des fois, je me voyais agir, j'étais comme un double. Par exemple, je me revoyais danser la polka avec mes parents et je criais comme pas possible et ils m'entendaient pas. Je devais seulement être un visiteur. - Les envahisseurs #BAMM# -. C’est space comme pouvoir. J'ai découvert qu'il pouvait me faire aller dans le futur, dans le passé, mais avec de la pratique, mais même réussi à stopper le temps! Ça c'est vraiment trop le pied... Mais... Malgré tout le réconfort que cette faculté m'apporte, la douleur n'a toujours pas disparue. Je dirais qu'elle empire même. Me revoir en train de danser la polka avec mes parents... c'est du passé. Aujourd'hui, dans mon présent, ils sont partis... Et revoir ça, c’est seulement de la nostalgie. Ce n'est pas réel. Si encore je revivais ces moments au jour le jour, je ne dirais pas mais ce n'est pas le cas... Oui, un jour arrivera où je retrouverai le bonheur de danser comme ça la polka... En plus, mes dix-huit ans approchaient, j’allais enfin pouvoir prendre mon envol et faire ma vie comme bon me semblais...

Du moins c'est ce que je pensais... Akeno voulait toujours garder un œil sur moi une fois sorti du pensionnat. Non mais il croyait quoi le vieux ? J'ai jamais été son enfant et je ne l'ai jamais considéré comme un proche. Pour moi c'était juste un mec qui m’hébergeait... Puis pourquoi voulait-il me surveiller ? Il avait peur que je dévoile ses plans ? Que je dise à tout le monde qu'il était génial, qu'il donnait des pouvoirs hyper balèzes ? C'est du rêve.. Je voulais juste faire ma vie comme quelqu'un de normal. Enfin. Pas vraiment puisque je voulais servir d’intermédiaire entre le présent et le futur. Grâce à ce don je pouvais enfin changer le monde et le faire devenir meilleur... Ahhh. C'est vraiment bon ça. Je vais pouvoir passer mon permis tranquillos, me payer un appartement, commencer à travailler et aussi débuter mes études!

« Il ne me reste pas beaucoup de temps, vite,profiter de chaque instant. ici,règne douceur,chaleur et bonheur, cela m'est tombé dessus par erreur. Créer par dieu et fais a deux, je ne suis qu'un signe des cieux. Apparue de l'infiniment petit, perdu,au milieu de l'infini. Il y a des pas,du bruit,au loin, c'est peu être beaucoup ou rien. On parle ,de qui, je ne sais tiens. Une petite lumière me fait de l’œil, voilà,je m'approche,oh un écureuil. Pourquoi me pousse t’ont, sans gentillesse et sans pardon. Une porte ou un passage, c'est par là,que je sors de ma cage. Je m’envais de cette endroit, que j'ai cru être a moi. J'ai mal,il force le passage sans en avoir l'air, et là, je cris,annonce ma venue,ça ne va pas plaire. Il fait froid,des mains m'entourent, il y a des gens,qui volent et qui courent. Me voilà,me voici,dans un nouveau monde, nous étions comme la terre,toute ronde. Je n'ai pas demandé à être ici, de l'amour,il parait que je suis le fruit. Là d’où je viens,nous ne formions qu'un, besoin de tendresse et d'amour,mais pas de pain. A tes cotés,nous allons passer de bon moments, toi que je vais appeler maman... »


DERRIÈRE LE PC
« Je suis Liinssei, j'ai 17 ans, j'ai découvert le forum grâce à un partenariat sur un forum où se suis inscrite. Je serai présent(e) ( 7 / 7 ), et voudrais ajouter que je vous aimes déjà ;D ♥. De plus, je joue un personnage inventé (beaucoup hésité d'ailleurs). »


Dernière édition par Naoe Issei le Jeu 16 Juin - 3:57, édité 9 fois
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Kaname Hayato
Kaname Hayato


♠ histoires : 79
♠ ici depuis le : 18/05/2011
♠ pseudo : Ayou
♠ avatar : Akanishi Jin, qui d'autre x) ?

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MessageSujet: Re: Naoe Issei ♣ time doesn't heal wounds [Terminé] Naoe Issei ♣ time doesn't heal wounds [Terminé] Icon_minitimeMer 1 Juin - 22:26

YOSH O/
Bienvenue ici èwé !
Tu sais quoi ? J'aime ton avatar ♥
Bon courage pour l'histoire o/
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Takeda Aoi
Takeda Aoi


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♠ pseudo : Sam63
♠ avatar : Tanaka Reina
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♠ études / emploi: Etudiante en première année de fac de droit.
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MessageSujet: Re: Naoe Issei ♣ time doesn't heal wounds [Terminé] Naoe Issei ♣ time doesn't heal wounds [Terminé] Icon_minitimeJeu 2 Juin - 6:08

\o o/ \o/ ! * danse du membre, bon ok, j'arrête * SBAFF**
Welcoooooome =D

Tu nous viens de quel forum ? ^o^
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Sasaki Narumi
Sasaki Narumi


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♠ ici depuis le : 23/05/2011
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♠ avatar : park yong hee

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♠ études / emploi: 2ème année - lycée
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MessageSujet: Re: Naoe Issei ♣ time doesn't heal wounds [Terminé] Naoe Issei ♣ time doesn't heal wounds [Terminé] Icon_minitimeJeu 2 Juin - 8:14

Bienvenue =)
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Aoki Hana
Aoki Hana


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MessageSujet: Re: Naoe Issei ♣ time doesn't heal wounds [Terminé] Naoe Issei ♣ time doesn't heal wounds [Terminé] Icon_minitimeJeu 2 Juin - 18:07

    TAE MIIIIIN *o* ♥

    Bienvenuuuuuuuue ~
    J'ime ton pouvoir & ton choix d'étudier dans l'archéologie ^O^
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Kawahara Yuji
Kawahara Yuji


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MessageSujet: Re: Naoe Issei ♣ time doesn't heal wounds [Terminé] Naoe Issei ♣ time doesn't heal wounds [Terminé] Icon_minitimeJeu 2 Juin - 18:31

Bienvenue !!
Dis donc ton histoire est longue, surtout qu'elle n'est pas fini, mais j'ai rien ri à certains passages sur la famille ... ^^
Mais maintenant qu'on est en plein tragique tu nous mets du suspens ? c'est quoi ça è_____é

Ganbatte pour la fin ! =)
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Naoe Issei
Naoe Issei


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♠ ici depuis le : 31/05/2011
♠ pseudo : Jaemiah;
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MessageSujet: Re: Naoe Issei ♣ time doesn't heal wounds [Terminé] Naoe Issei ♣ time doesn't heal wounds [Terminé] Icon_minitimeDim 5 Juin - 8:34

Mouhéhéhéhé merci à vous tous ;D ♥
Kaname → Arigato, ça fait plaisir qu'il te plaise (ok...)
Takeda → Je viens de Yeonju University ; )
Kawahara → Han *O* Je viens juste de remarquer XD - Tellement que j'étais trop dans mon truc... - Désolée pour l'attente alors x) Et oui, j'écris beaucoup *sors*

Vous avez pas du voir mais c'est terminé x)
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Kawahara Yuji
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MessageSujet: Re: Naoe Issei ♣ time doesn't heal wounds [Terminé] Naoe Issei ♣ time doesn't heal wounds [Terminé] Icon_minitimeLun 6 Juin - 11:11

Ah désolée j'étais pas là du week-end ^^' enfin si hier soir mais j'avais pas fait gaffe que ta fiche était finie ...
Fiuuu il lui en arrive des choses à ce pauvre Issei O.O

EDIT : tu as 17 ans, donc tu peux pas être Jiyuu puisque tu vis encore à l'internat. Tu seras Koji ^^


Félicitations !
Ta fiche est désormais validée =D


Hey hey ! Je viens t'annoncer avec joie que ta fiche est désormais validée ! ♥

Mais bon, il y a encore du boulot. Tu dois passer par la case relations afin de faire ta fiche de liens, pour qu'on puisse savoir qui sont tes amis -et tes ennemis o/.
N'oublie pas de faire ta demande de logement pour ne pas vivre sous un pont ou au fond d'un carton (:

Mais, bonne nouvelle, tu peux désormais commencer le rp ! Rappelons que maximum 4 topics sont autorisés, n'en abusez pas. Si tu ne sais pas avec qui débuter le rp, n'hésite pas à faire une demande par ici ^-^
Tu peux également faire un tour dans le flood histoire de faire connaissance avec les autres membres et peut-être proposer des jeux !

En tout cas tu es libre de parcourir le forum comme bon te semble, et si tu as des questions, n'hésite pas à m'envoyer un mp. ♥
Bon jeu ~
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Naoe Issei
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MessageSujet: Re: Naoe Issei ♣ time doesn't heal wounds [Terminé] Naoe Issei ♣ time doesn't heal wounds [Terminé] Icon_minitimeJeu 9 Juin - 4:12

C'est pas mieux pour ma part j'ai pas pu vérifier les réponses à cause de ma connexion *meurt*.
Juste une chose à préciser, Issei a 21 ans, c'est juste que je précise pas trop ce qu'il s'est passé plus tard dans son histoire - c'était déjà bien assez long je crois Oo - mais on verra la progression lors de rp. J'aurai du le dire x). Sinon merci pour tout hein eOe et je plussois, trop de chose lui sont arrivé o.o, sur ce, j'attend ta prochaine réponse (que je lirai certainement que Vendredi ...) Voilà ;D
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Kawahara Yuji
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MessageSujet: Re: Naoe Issei ♣ time doesn't heal wounds [Terminé] Naoe Issei ♣ time doesn't heal wounds [Terminé] Icon_minitimeJeu 9 Juin - 8:19

Punaise en plus c'est marqué qu'il a 21 ans, j'suis vraiment fatiguée moi -.-
Je te mets dans les Jiyuu de ce pas alors ! ♥
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Naoe Issei ♣ time doesn't heal wounds [Terminé] Vide
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Naoe Issei ♣ time doesn't heal wounds [Terminé]

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